Nous avons appris avec tristesse le décès de Bernard OTTER survenu à l'âge de 65 ans le 22 février 2013.
HOMMAGE à Bernard OTTER, lors de ses obsèques le 27 février 2013
(Rédigé et prononcé par son ami et collègue André Idoux)
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C’est avec une grande émotion que nous avons appris le décès de Bernard. Il était encore parmi nous lors de nos dernières rencontres à l’Amicale des Anciens de l’INRS (repas de fin d’année 2012 et galette le 18 janvier dernier).
Son mal s’est déclaré de façon fulgurante, l’emportant après 15 jours d’hospitalisation. Il était en retraite depuis moins de cinq ans.
Après quelques années comme mécanicien aux Coopérateurs de Lorraine, il entre à l’INRS en 1971 en qualité de technicien au service « Machines Dangereuses ».
II est alors rapidement intégré au sein de plusieurs études et conception de bancs d’essais tels : le rejet du bois à la toupie, bancs de survitesse des outils, mise au point de protecteurs pour le travail du bois….
Autodidacte, Bernard s’est rapidement découvert une passion pour l’étude de schémas électriques complexes englobant les énergies pneumatiques et hydrauliques, les automates programmables et commandes numériques, dans le cadre de la fiabilité des systèmes).
A partir de 1981, à la demande du Ministère du Travail et ce en vue de l’attribution des visas d’examens techniques, il devient le support essentiel et incontournable des techniciens, pionniers de l’Intégration de la Sécurité à la Conception des Machines à travailler le bois.
Cette activité a duré 15 années pendant lesquelles il a eu l’occasion de se déplacer dans de nombreuses sociétés européennes de construction de machines en France, Italie, Allemagne …etc
C’est un ami que nous perdons, sa discrétion était légendaire, il était au service des autres, d’une droiture et d’une honnêteté sans faille, je puis en témoigner.
Nous présentons toutes nos vives et sincères condoléances à son épouse, ses deux enfants, ses deux frères, ainsi qu’à toute sa famille.
Que Saint Bernard patron de cette église de Clairlieu l’accueille en son paradis où il a certainement déjà retrouvé son frère et ses parents.
A Dieu ! Bernard notre ami. André IDOUX